Alors que leur pouvoir est immense, qu'ils sont les seuls à pouvoir se critiquer (cf Charte de Munich), qu'ils sont ceux qui font qu'une chose existe ou est censurée etc., les journalistes expliquent qu'ils ne sont pas responsables et qu'ils sont au contraire des victimes.
Ils parlent d'enquête qui coûte cher, mais ne se déplacent même pas quand il y a des événements qui ne rentrent pas dans leur idéologie.
Pas un seul journaliste au meeting contre le mini-traité le 19 octobre dernier, sauf un de Marianne-en-ligne : manque de moyens sans doute, un ticket de métro pour aller à la Place des Victoires coûte 1 euro.
Pas un seul journaliste au congrès fondateur de l'UPR pour sortir de l'Union Européenne, le 50è anniversaire du traité de Rome en mars 2007 : pareil, un ticket de Métro pour aller dans la salle de Paris où cela se passait doit être au-dessus de leurs moyens d'enquêteurs professionnels. François Asselineau, président de l'UPR, avait pourtant annoncé avoir invité pas moins de 80 journalistes à ce congrès.
Si vous ne me croyez pas, cliquez ici pour voir le reportage de la Télé Libre.
mercredi 31 octobre 2007
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